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Archives de Tag: Vincent Peillon

Sur la morale de Monsieur Peillon (recension)

26 mardi Nov 2013

Posted by Vivien Hoch in Philosophie, Politique, Religion

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Thibaud Collin, Vincent Peillon

Recension. Thibaud Collin, Sur la morale de monsieur Peillon, Salvator, carte blanche, Paris, 2013

Thibaud Collin est un philosophe bien connu des intellectuels chrétiens engagés dans les âpres débats civilisationnels de ces dernières années. Rappelons son remarquable et tout à fait à-propos « Sur les lendemains du mariage gay » paru avant le projet de loi et les manifestations salvatrices qui ont suivi. Il a remis le couvert avec cette morale de monsieur Peillon, qui tombe à pic, également, en pleine offensive moralisante et laïque sur l’école publique (morale laïque, charte de la laïcité, théorie du genre, refonte des programmes scolaires). Un ouvrage qui dépasse largement ses objectifs.

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Crédits : Vivien Hoch

Ne vous attendez pas à une exposition froidement objective de l’idéologie révolutionnaire et socialisante de Vincent Peillon ; Thibaud Collin propose ici bien plus une critique en règle des tenants et des aboutissants de l’idéologie peillonienne, et une mise en question de ses idéaux. L’avantage, c’est qu’en critiquant Vincent Peillon, on ne critique pas que ce personnage, en soi inintéressant et médiocre : derrière lui, se cache le coeur de la République et de l’idéologie qu’elle véhicule depuis la Révolution française qui n’est, pour rappeler le mot même du mis en cause, pas encore terminée. À tel point d’ailleurs, que, dans cet ouvrage, il n’est finalement que très peu question de Vincent Peillon lui-même, des mesures qu’il introduit aujourd’hui dans l’école. Le travail dépasse largement Vincent Peillon. C’est plutôt une analyse générale de la post-modernité.

I-Grande-7269-sur-la-morale-de-monsieur-peillon.aspxD’emblée, la plus grande conquête de ce travail, comme de tout travail sur ce genre de personnage républicain, me semble être dans la possibilité de prendre conscience du fait que nous sommes, avec cette République-là, dans un système qui impose subrepticement une certaine conception de l’homme, et, en laissant (soit-disant) à chacun la possibilité de vivre selon ses propres conceptions de l’homme, se développe en fait à partir d’une indifférence radicale sur ce qu’est l’homme.

Vincent Peillon lui-même, au bout d’une longue tradition républicaine et socialiste, n’a pas abandonné ce cher « bien commun », tant apprécié de nos amis chrétiens. Bien au contraire : il en a un en tête, et cherche à l’imposer par tous les moyens. Évidemment, depuis qu’il a les manettes de l’éducation nationale, la tâche est plus facile… Et ce sont nos enfants qui en pâtissent. Reste quel’épistémologie pédagogique de Vincent Peillon est complètement désuète, et c’est la deuxième conquête de cet ouvrage que d’arriver à le prouver. La principale raison en est qu’une certaine conception de l’homme entre en jeu derrière la morale peillonienne : « l’enjeu ultime de notre question est bien anthropologique » (p. 54), et il s’agit de découvrir ce qui est en jeu. C’est là que Thibaud Collin devient extrêmement intéressant, notamment dans un chapitre exceptionnel (nature et grâce, chap. V) qui traite de la « modernité post-chrétienne » (c’est son terme) ; il y expose la nostaglie de la grandeur d’une société qui a abandonné le surnaturel et la nature, dans une « acédie mondaine »  ; je vous laisse découvrir ces pages d’une grande finesse.

Les sources religieuses d’une société

Thibaud Collin, déjà très au fait de la question théologico-politique posée par la laïcité révolutionnaire et socialisante (Laïcité ou religion nouvelle ?, Harmattan, Paris, 2007), détaille la question avec les mentors de Vincent Peillon au chapitre 3 : « la République en quête d’une religion impossible », qui reprend les vieux débats entre Simon, Quinet et Ferry, qui se déroulent nécessairement lorsqu’il fait organiser une morale et une éducation sans Dieu : comment produire du commun ? Comment insérer une hétéronomie anthropologique, qui ouvre l’homme à l’autre, sinon à un Autre ? La question de la fondation religieuse du politique, devient celle de la sanctuarisation de l’école, qui devient alors le temple de cette nouvelle religion, comme le dira plus tard Vincent Peillon. La morale dite laïque s’y fondera comme en son élément propre. D’où l’insistance du monde laïc sur l’école et sur l’éducation, tentant de réduire au maximum l’influence de la famille sur les futurs citoyens.

La laïcité devient rapidement un principe d’indifférenciation (p. 83).

La vraie question de tous ces débats, prises de positions, combats idéologiques, étant, au fond, celle de savoir sur quoi fonder la morale : sur Dieu, sur la liberté ou sur l’universel, et, au-delà, de déterminer si la post-modernité a fait de l’état républicain laïc une structure sociétale relativiste et procédurale, écartant la possibilité d’une éthique du bien ; qu’ainsi, comme le dit Thibaud Collin,

« le projet Peillon sous couvert de réintroduire la morale à l’école ne va qu’accroître le relativisme dans la mesure où il ne procède pas à une critique de la doxa actuelle conduisant à réduire la morale à des valeurs formelles sans contenu » (p.133).

Je ne partage pas cet avis. Thibaud Collin pense que la société libérale-laïque empêche toute éthique du bien, et que le projet Peillon se retourne sur lui-même, dans sa propre impossibilité ou contradiction laïque. C’est que je n’estime pas que la société libérale-laïque-procédurale soit avérée, ni non plus que ce qui la fonde et la motive soit des « valeurs formelles sans contenu » ; bien au contraire, il le semble que nous sommes dans une situation on ne peut plus théocratique, avec des contenus à forte consistance idéologique, voir que nous avons à faire à une métaphysique, avec ses transcendantaux et son intolérance ontologique. Thibaud Collin y approche lorsqu’il étudie la volonté théologico-politique de Quinet. Le socialisme républicain et laïc n’est pas informe et sans contenu, comme l’homme qu’il a en vue bien au contraire, il est une métaphysique du dépouillement total, une mystique de la différence, une ascèse mondaine, une acédie, comme Thibaud Collin l’expose au stupéfiant chapitre V. Ma critique devra prendre d’autres lattitudes pour s’exposer plus en avant, et je n’y manquerai pas prochainement.

Un livre efficace, avec des éclairs de lucidité théologico-politique

Reste qu’il s’agit là d’un ouvrage lucide, efficace, avec la sobriété d’écriture et de raisonnement qui caractérise Thibaud Collin ; où il est pris le temps de revisiter les arguments historiques en faveur de la morale laïque, en y croisant Quinet, Jaurès, Rousseau, Ferry, etc. ; où Vincent Peillon est recontextualisé et réinséré dans une vieille tradition républicaine, souvent anti-cléricale, universaliste et socialiste et où, finalement, il est montré que cette tradition et les questions qu’elle porte le dépasse largement, ainsi que tous ceux qui la défendent.

Pour vous le procurer : Thibaud Collin, Sur la morale de monsieur Peillon, Salvator, carte blanche, Paris, 2013

Sur le même thème :

– Vivien Hoch, Vincent Peillon, prophète d’une religion laïque, CERU, 2013

– Entretien sur la charte de la laïcité de Vincent Peillon,

– Réfutation point par point de la charte de la laïcité 

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Ajouter une parole d’Évangile au fronton des écoles catholiques ?

02 mercredi Oct 2013

Posted by Vivien Hoch in Religion

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écoles catholiques, l’enseignement catholique, parole d’Evangile, Vincent Peillon

Article de Vivien Hoch sur Itinerarium.fr

Les drapeaux tricolores et européens ainsi que la devise républicaine sur les frontons des établissements catholiques ? Pascal Balmand, nouveau secrétaire général de l’enseignement catholique propose d’y ajouter une parole d’Evangile. Un moyen selon lui de marquer à la fois «l’appartenance ecclésiale» de ces établissements et le partenariat qui les lie à l’État. «Je suis venu pour que vous ayez la vie et que vous l’ayez en abondance» : si cet ancien professeur d’histoire dirigeait un établissement, c’est cette parole qu’il choisirait d’afficher sur les frontons des établissements catholiques.

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Concernant la morale souhaitée par Vincent Peillon et inscrite aux programmes :

«Dès lors que nous ne sommes pas dans la vulgate d’une pensée obligatoire, nous ne nous opposons pas à cet enseignement de la morale».

Enfin, à propos de la charte de la laïcité, le secrétaire général de l’enseignement catholique rappelle que le document ne s’applique pas à l’enseignement catholique.

«La laïcité républicaine, nous y adhérons pleinement. En revanche, la laïcité des établissements, nous ne pouvons y souscrire ».

 

Nous rappellons souvent ici comment la laïcité de composition, telle qu’elle est explicité dans la déclaration des droits de l’homme et du citoyen, et qui assure la liberté de publiciser sa foi, se transforme peu à peu, sous les coups de butoir des prophètes comme Vincent Peillon, en une laïcité de combat. On l’a vu récemment avec la charte laïque, la morale laïque, la proposition de supprimer les fêtes chrétiennes, et maintenant avec la tentative d’application de la devise républicaine sur les frontons des écoles catholiques.

Le chrétien ne doit pas être naïf : cette laïcité athéiste, religion de l’homme sans Dieu, si possible socialiste, ne doit pas écraser la foi des chrétiens, et ces derniers doivent résister à cette tentative de substitution d’une religion à une autre.

Il est possible de se défendre par la guerre – une guerre religieuse, pas forcément matérielle, mais surtout spirituelle. Comme le rappelle saint Thomas d’Aquin (Somme de théologie, IIa IIae, qu. 10, art. 8, resp.) :

C’est pour cela que souvent les fidèles du Christ font la guerre aux infidèles; ce n’est pas pour les forcer à croire puisque, même si après les avoir vaincus ils les tenaient prisonniers, ils leur laisseraient la liberté de croire ; ce qu’on veut, c’est les contraindre à ne pas entraver foi chrétienne. 

Ajouter une parole d’Évangile sur le fronton des écoles catholiques, afin de préserver le caractère propre de ces institutions libres, c’est défendre les dernières poches de résistance à l’invasion laïciste ; cette parole sera sentinelle pour nos enfants : « je t’ai donné pour sentinelle aux enfants d’Israël. » (Ézéchiel 3, 17). Finalement, cette parole d’Évangile, exposée au fronton des écoles catholiques, remplit, seule, les conditions d’une laïcité saine, positive, et bien comprise…

Retour sur l’entretien donné à la radio sur la religion de Vincent Peillon

04 lundi Fév 2013

Posted by Vivien Hoch in Philosophie, Politique, Religion

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Ceru, ferdinand buisson, l education nationale, laïcité, ministre de l education, ministre de l education nationale, religion, religion laïque, socialisme, Vincent Peillon, vivien, Vivien Hoch

Sur Kernews

Les auditeurs de Kernews ont été nombreux à réagir en écoutant l’entretien avec Vivien Hoch diffusé le 8 janvier dernier. En effet, le CERU (Centre d’études et de recherches universitaire) a fait paraître des travaux passionnants sur Vincent Peillon. À partir de deux ouvrages publiés récemment par ce dernier («Une religion pour la République : la foi laïque de Ferdinand Buisson», Le Seuil, 2010 et «La Révolution française n’est pas terminée», Le Seuil, 2008), l’auteur de cette étude, Vivien Hoch, chercheur en philosophie, analyse les fondements sur lesquels se base le ministre de l’Education nationale pour construire et concrétiser sa vision de la laïcité et de l’école républicaine. Il ressort de cette analyse que pour Vincent Peillon, l’école doit être capable de concurrencer les religions et les traditions. Selon le ministre, qui s’inscrit dans la lignée de Ferdinand Buisson, la laïcité est «un principe de tolérance certes, mais plus encore de philosophie positive, c’est aussi une religion». Paradoxalement, la laïcité devient même «la religion de toutes les religions, de toutes les confessions, la religion universelle». Le projet consiste alors «à forger une religion qui soit non seulement plus religieuse que le catholicisme dominant, mais qui ait davantage de force et de séduction, de persuasion que lui». Pour parvenir à imposer cette nouvelle approche, l’école doit jouer un rôle stratégique et politique. Cette étude révèle également que selon Vincent Peillon, République et socialisme sont fondamentalement synonymes. Pour lui, l’histoire débute avec la Révolution française et converge, selon le fameux sens de l’histoire, vers sa propre construction idéologique de la réalité : tant que celle-ci résiste à l’idée socialiste, la révolution reste «inachevée». Lien vers le site du CERU

 

Kernews vous propose la lecture audio sur deux lecteurs (HTML 5 et Flash) afin d’assurer une compatibilité sur tous les navigateurs, smartphones et tablettes.

Extraits de l’entretien

Kernews : Votre étude démontre que le concept de laïcité est poussé à un tel niveau par Vincent Peillon, qu’il l’érige en véritable religion, avec ses excès, ses dogmes et ses interdits…

 

Vivien Hoch : Quand on a lu toute l’œuvre de Vincent Peillon, on n’est pas du tout étonné par ses propos, car c’est un vrai idéologue. C’est quelqu’un qui a une logique de pensée très profonde et l’on comprend tout à fait pourquoi il s’oppose autant aux catholiques et à l’enseignement privé. Nous nous sommes basés sur ses écrits et il a des citations assez inquiétantes pour quelqu’un qui peut être catholique, ou d’une autre religion, car il développe l’idée de la République comme une religion qui s’oppose aux religions traditionnelles. Par exemple, la République est égale au socialisme et la République doit être plus prégnante et plus intéressante que les religions traditionnelles. La République doit même remplacer les religions traditionnelles. On comprend donc pourquoi les enfants doivent être scolarisés le plus tôt possible ! Il se situe dans la lignée d’un État quasiment totalitaire qui voudrait prendre en main l’intégralité de l’éducation des jeunes Français.

La République est un mode d’organisation au sein duquel les religions trouvent chacune leur espace, tout en restant dans la sphère privée. Or, votre étude démontre que la République doit s’immiscer dans la sphère privée et même prendre la place des religions…

C’est exact et elle va y entrer par l’éducation. La religion laïque est à ses yeux une religion de substitution. C’est quelqu’un qui est rempli de convictions. Il a un vrai projet pour la société, un projet qui porte en lui des germes de totalitarisme. Par exemple, il affirme que République et socialisme sont inséparables, c’est très dangereux pour les opinions divergentes. Son image lisse cache un véritable monstre idéologue.

Ne revient-il pas finalement aux fondamentaux de la construction de notre échiquier politique, c’est-à-dire celui issu du clivage de la Révolution française ?

La Révolution française n’est toujours pas achevée pour Vincent Peillon. Son idéal progressiste est justement d’achever cette révolution. Cette dichotomie vient plutôt du XIXème siècle, il s’oppose encore au libéralisme tel qu’il était au XIXème siècle.

Peut-on parler de haine à l’égard des religions et des traditions ?

Je ne pense pas que l’on puisse parler de haine, ni même de cathophobie parce que, dans son idée, la République socialiste se situe dans la poursuite des valeurs chrétiennes. Le christianisme doit devenir une République socialiste. Le christianisme n’est qu’un moment de l’histoire qui doit parvenir nécessairement à la République socialiste. Donc, les religions ne vont pas tarder à disparaître. C’est peut-être finalement pire que de la haine… La haine reconnaît son adversaire, même méchamment, alors qu’il est dans une conviction que l’histoire va aller nécessairement vers ses propres idées : les catholiques ne sont plus qu’un moment de l’histoire et ils sont donc destinés à disparaître.

Vous faites référence à une lettre adressée aux recteurs, dans laquelle il leur demande de «s’appuyer sur la jeunesse pour changer les mentalités…»

C’est très inquiétant ! Le but de Vincent Peillon, qui ne s’en cache pas dans ses livres, c’est que l’enseignement catholique soit totalement contrôlé par l’État. La République socialiste est aussi une religion, il faut bien comprendre cela : elle a donc aussi ses tables de la loi, ses prophètes, ses prêtres et ses dogmes qui doivent être enseignés dans tout le système éducatif, y compris dans le privé. Lorsque Najat Belkacem est allée enseigner le mariage homosexuel dans les écoles, cela n’a posé aucun problème à Vincent Peillon, puisque les écoles sont les lieux où l’on doit créer les futurs électeurs socialistes… Donc, on les formate à la pensée unique, républicaine et socialiste. Cette lettre aux recteurs de Vincent Peillon est très inquiétante, car elle porte un germe de totalitarisme.

Dans ce travail de sémantique, il y a aussi la diabolisation, puisque Vincent Peillon accuse tous ceux qui ne seraient pas sur sa ligne d’être proches des forces contre-révolutionnaires, réactionnaires et rétrogrades. Ce sont des termes très durs…

Celui qui s’oppose à l’histoire inéluctable, celle qui avance vers la République socialiste, est impur, il est rétrograde… Ce sont les mots mêmes de Vincent Peillon. Lorsque l’histoire avance à grands pas, Vincent Peillon est aux commandes et tous ceux qui s’opposent à cette avancée sont impurs. Nous sommes quasiment dans une chasse aux sorcières ! Tout cela est de l’ordre de l’Inquisition, avec une nouvelle religion qui a ses dogmes et sa propre histoire…

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