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Archives de Tag: libéralisme

Utopie, mondialisation et libéralisme

20 lundi Oct 2014

Posted by Vivien Hoch in Éditos, Philosophie, Politique

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communisme, libéralisme, mondialisation, socialisme, utopie, vivien, Vivien Hoch

Édito de Vivien Hoch sur Les 4 Vérités 

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« Avant, les évènements qui se déroulaient dans le monde n’étaient pas liés entre eux. Depuis, ils sont tous dépendants les uns des autres. ».

Polybe, IIe siècle avant J.-C. (!).

1° La mondialisation est d’abord une utopie, et de surcroît, une utopie communiste.

C’est l’Internationale communiste, évidemment, qui veut accroître le régime socialiste à l’ensemble du monde. D’autre part, c’est une utopie cosmopolite. L’utopie, c’est, en grec, οὐ-τοπος (ou-topos), à savoir « le sans lieu ». « Sans-lieu », c’est-à-dire sans terre, c’est-à-dire apatride. Àpatride, non pas parce que la vraie patrie est au Ciel, mais parce que la vraie patrie est à venir. Et c’est justement le « mondialisme » qui a pour mission de faire advenir ce grand soir.

2° Par ses origines communistes et son caractère totalement inconcret, la mondialisation est profondément anti-libérale.

L’édito de Guillaume de Thieulloy dans le dernier numéro des 4 Vérités montre à quel point le FMI, souvent taxé de « fer de lance de l’ultra-libéralisme », est en fait une gigantesque structure étatique et socialiste à l’échelle planétaire.

Or rien ne s’oppose plus à un concept de libéralisme bien compris que ce gigantesque état qui règlemente et enserre les populations dans les serres de fonctionnaires apatrides.

Le fonctionnaire appatride, il n’y en a pas qu’au FMI ou dans les grandes banques. Il y en a chez nous, dans l’état socialiste : ces personnes qui accordent des HLM aux immigrés, ces personnes qui pondent des lois antifrançaises, qui augmentent l’AME (Aide Médicale d’État) en réduisant drastiquement le budget de la Défense, entre autres exemples.

Il est appatride, parce qu’au fond, il est profondément socialiste : la société humaine en général prime sur l’individu ; la mondialisation, ainsi entammée, n’est alors pas une libéralisation à outrance, mais bien plutôt l’instauration d’un fonctionnariat mondial, étape finale et eschaton du socialisme.

3° Il n’y a pas une, mais des mondialisations.

L’axe Moscou-Pekin développe indéniablement une forme différente de mondialisation que l’axe Washington-Bruxelles.

On réduit bien trop souvent l’ensemble de ces différences à un même principe, décrit comme une « libéralisation de l’économie », co-ajaccente à une « libéralisation des mœurs ».

Le modèle économique russe, par exemple, est original : il est semi ouvert, semi fermé. Il y a une certaine verticalité du pouvoir, et il garde le contrôle sur les secteurs clefs, notamment dans le domaine énergétique.

 ***

Au fond, la mondialisation prend l’homme en étau dans une double injonction : « sois toi-même ! », c’est-à-dire affirme tes différences, tes désirs, ta singularité, et « sois Homme », c’est-à-dire participe pleinement des valeurs dites universelles de l’ « humanisme ». D’où ce paradoxe proprement gauchiste qui chérie les différences tout en oeuvrant au maximum pour niveler les identités dans un « fourre-tout multiculturel ».

La seule manière de s’en sortir, c’est de remettre l’État à sa place. Si on remet l’État à sa place on frène la grangrenne socialiste. La société en position de servante de la personne plutôt que la personne comme servante de la société.

Repenser l’articulation entre le local (oikos, la maison) et le global (kosmos) constitue désormais une tâche urgente qu’aucun anathème : « libéral-libertaire ! » ne peut plus décrire, et résorber.

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Rome, du libéralisme au socialisme

15 jeudi Mai 2014

Posted by Vivien Hoch in Politique, Religion

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France renaissance, libéralisme, Philippe Fabry, Rome, socialisme, Vivien Hoch

Recension, sur France-Renaissance 

Par Philippe Fabry (éditions Jean-Cyrille Godefroy, 2014)

De Polybe (comment Rome s’est-elle si vite rendue maitresse de l’univers ?) à Edward Gibbon (comment Rome a-t-elle décliné ?), l’histoire de la civilisation romaine a toujours été l’objet des interrogations, tant des historiens que des philosophes politiques. D’emblée, la chute de l’Empire Romain est une question, mais celle de sa « conquête du monde » en si peu de temps, en est une autre. Mais les deux axes historiques de Rome, l’ascension et la chute, peuvent se retrouver sur un point : celui de l’organisation politique et économique. À la fois historien, économiste, sociologue et philosophe de l’histoire des idées, Philippe Fabry offre une version approfondie et moderne de la victoire et de la défaite de Rome dans l’histoire. Il choisit d’expliquer la chose par les facteurs d’organisation sociale et économique de l’Empire. Tout comme sa référence explicite, le Montesquieu des Considérations sur les causes de la grandeur des romains et de leur décadence, la décadence de Rome s’explique par la perte de la liberté et, corrélativement, son ascension s’explique par un système qui préservait les libertés individuelles – « Rome est née comme une puissance libérale (…) elle s’est ensuite transformée en puissance socialiste qui a fini par imploser, par s’effondrer sous son propre poids » (p. 17).

Inquiétant, et si actuel… N’est-ce pas là le destin tragique qui pèse sur les grands empires ? Le fait qu’ils dérivent peu à peu vers le socialisme, et donc vers leur propre déchéance, semble être une constante de l’histoire…

« Rome libérale » et « Rome socialiste » : anachronisme ou invariants de l’histoire ?

Philippe Fabry tente évidemment d’éviter l’anachronisme, et s’explique sur l’utilisation des termes disputés aujourd’hui de « socialisme » et de « libéralisme ». En se fondant sur les définitions de « socialisme » et de « libéralisme » données par Hayek,  il montre qu’il est possible d’appliquer ces définitions larges à leurs formes d’expression dans l’histoire ; et il est évident, selon lui, que « des éléments de définition pertinents se trouvent dans les deux situations évoquées [« Rome libérale » et « Rome socialiste »] » (p. 14).  Les faits romains dont nous avons connaissance peuvent se prêter à une étude d’histoire et de socio-économie comparée. Si donc le socialisme part du principe que l’organisation collective prime sur l’individu, et que le libéralisme est le primat donné à l’individu sur le collectif, charge à l’auteur d’en déceler les éléments présents dans l’épopée romaine.

Le règne du droit romain

Le règne du droit, juris, dont est issu en grande partie la structure juridique de la civilisation occidentale, provient de l’organisation de Rome, sous la République, période que Philippe Fabry décrit comme « lutte contre l’arbitraire et instauration d’un état de droit ». Ce « libéralisme romain » est en effet né de la volonté de garantir les droits du peuple face aux tyrans : « Le libéralisme romain c’est d’abord, historiquement, le souci d’éviter à tout jamais la tyrannie » (p. 19). On y trouvait les: « La citoyenneté romaine conférait à son porteur un ensemble de droits politiques, civils et militaires parmi lesquels :

  • le jus connubii, droit de mariage légal
  • le jus commercii, droit d’acheter et de vendre
  • le jus legi actionis, droit d’intenter des actions en juste pour faire valoir son droit. »

et, relève justement Philippe Fabry, cette mesure qui garantie la libertas du peuple face aux dérives des gouvernants :

« le jus provocationis, par lequel tout citoyen pouvait faire appel au tribun pour se protéger d’une décision d’un magistrat qu’il estimait arbitraire, et auquel le magistrat plébéien pouvait s’opposer par intercessio. » (p. 24)

Bref, c’était le règne du droit, qui garantissait la libertas du peuple face aux arbitraires des magistrats. Ce droit était lié à la citoyenneté romaine, ce qui la rendait très demandée et très précieuse. Quelque chose que l’on défend, et quelque chose qui stimule. Et qui stimule, notamment, l’économie. Selon l’auteur, c’est ce règne du droit qui permit le succès des entreprises romaines. « Le droit est une technologie sociale et politique. Comme toute autre technologie, il permet des gains de productivité » (p. 29). Succès économique, donc, mais qui dut perverti de l’intérieur.

Les raisons de la chute

En suivant pas à pas les mutations socio-économiques de Rome, Philippe Fabry tente de démontrer que « la chute de l’Empire romain est la conséquence de l’impasse dans laquelle le socialisme impérial avait conduit le monde antique » (p. 127).
La principale cause de la chute de Rome c’est l’émergence progressive de ce que nous appelons aujourd’hui le « capitalisme de connivence », autrement dit, l’utilisation de la puissance publique pour enrichir une classe déterminée de gouvernants. Ce qui se décline, dans l’Empire Romain, comme une utilisation abusive de la puissance militaire :

« La puissance et l’argent de l’état sont employés pour s’emparer de terres et nourrir le marché des esclaves, lesquels sont principalement acquis, à très bas prix, par les grandes fortunes romaines. En résumé, la classe riche acquiert un capital (terres et esclaves) avec l’aide de l’État et bénéficie ensuite seule des fruits de son exploitation » (p. 45)

Les premières guerres furent menées à petite échelle, et les gains limités. Mais avec l’expansion conquérante de Rome, la transformation de la société s’est opérée. Un afflux important de terres et d’esclaves enrichit les sénateurs et les généraux romains, qui prirent une part de plus en plus importante dans la maitrise du gouvernement, y compris celui des citoyens.

Les institutions se retournèrent alors contre la libertas romaine, notamment à partir du règne d’Auguste, lorsque furent mêlés les pouvoirs du tribunat (qui protégait les droits) et ceux du consulat (pouvoir politique). Le contrôle du Sénat sur les dépenses publiques disparaît, et Auguste disposait de tous les droits sur le trésor public (p. 63).

Jusqu’au dominat, et ce que Philippe Fabry appelle la « soviétisation de l’Empire romain », ce ne fut qu’une succession de concentration de tous les pouvoirs, jusqu’à une immixtion dans toutes les sphères de l’existence des citoyens : religion, art, économie, politique. « Le résultat de cette reprise en main totalitarisante fut, un siècle et demi après, l’effondrement total du système romain » (p. 103)

La méta-histoire de cette opposition de principe

Un plus grand pas encore, qui sera franchit dans la dernière partie de l’ouvrage, c’est celui qui consiste à s’élever au point de vue méta-historique. Le parallèle était évidemment à faire avec nos sociétés contemporaines en crise, notamment au plan socio-économique, et Philippe Fabry n’a pas hésité, en posant clairement la question pertinente : « un grand pays libéral est-il mécaniquement destiné à sombrer dans le socialisme ? » (p. 137). La logique est implacable, surtout après avoir parcouru cette relecture de l’histoire romaine. S’il est vrai qu’un pays libéral est plus dynamique quz tout autre modèle, il accède rapidement à une position supérieure. Cette position dominante provoque alors sa chute : ses dirigeants ne résistant pas à la tentation de profiter de cette position pour s’enrichir, eux, et leurs amis (p. 138). La trajectoire historique des américains, note l’auteur, est extrêmement proche, sous tous les plans, de celle qui est décrite pour les romains… Philippe Fabry propose en appendice un stupéfiant parallèle entre l’histoire romaine et l’histoire américaine. L’Amérique entendra-t-elle la leçon de Rome ?

Conclusion

Libéralisme et socialisme, deux constantes historique de l’organisation des sociétés humaines, et, en deux mots, qui a provoquées deux Rome, l’une flamboyante et respectueuse des droits du peuple, l’autre « étatiste », dirigiste, conquérante à outrance et provoquant une politique en pleine connivence avec la classe dirigeante. On suit avec intérêt les méandres de l’histoire romaine, de la République au dominat, en passant par les mutations provoquées par la grande guerre civile et les invasions barbares.

On comprend, surtout, à travers cette épopée historique qui finit tragiquement, que « la seule cause déterminante, celle qui change tout, c’est la présence ou l’absence de la liberté comme fondement de l’ordre social » (p. 136). Une vraie leçon de l’histoire.

Acheter le livre

Disponible sur: les 4verites diffusion.

Une apologie théologale des principes libéraux, par Vivien Hoch (novembre 2013)

12 mardi Nov 2013

Posted by Vivien Hoch in Philosophie, Religion

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christianisme, Hoch, Itinerarium, libéralisme, liberté, théologie, Une apologie théologale des principes libéraux, vivien, Vivien Hoch

Un article de Vivien Hoch sur Itinerarium 

Dieu veut-il des êtres libres ou des étants soumis ? La réponse à cette question suppose que la différence ontologique (étant/être) redoublée de la différence nature/surnature, trouve dans la différence proprement politique entre collectivisme/libéralisme des points d’appuis, ou au moins des résonnances.

Vivien Hoch

Théologiquement, de la Cause Pemière (Dieu) aux causes secondes (l’être humain en tant que créature douée du libre arbitre), il y a un espace, que la conception chrétienne de création laisse ouvert aux potentialités humaines ; c’est cet espace fondamental qui laisse la porte ouverte au paradigme libéral. Non que le monde humain se réduise à des causes : réduire la vie terrestre de l’homme a un faisceau de causalité serait vulgairement anti-libéral. Bien plus, l’homme a une capacité qui le place largement au-delà du monde créé : celle d’avoit le pouvoir d’être cause de lui-même.

C’est l’idée de causa sui, que Descartes applique à Dieu, mais que saint Thomas d’Aquin applique à l’homme : l’être humain, dit-il, est image de Dieu parce que c’est un être intelligent et volontaire, mais aussi et surtout parce qu’il est « per se potestavium » : il a un pouvoir de lui-même et par lui-même[1] ; un pouvoir si cher aux yeux de Dieu qu’il envoie sa grâce pour restaurer les pleins pouvoirs que l’homme a sur lui-même.

Or ce type d’auto-détermination constitue exactement le principe anthropologique du libéralisme, etsa seule idée directrice. Auto-détermination, qui extirpe par principe l’homme libre de toute chaine de causalité naturelle, surnaturelle, sociale ou économique ; mais également contre l’homme  En régime théologique, comme en régime politique, nous ne sommes pas de simples instruments que Dieu – ou le dieu moderne, l’État – agite comme une marionnette avec les fils de la concupiscence ou de la violence, guidé en cela par des idées universelles et, surtout, idéelles : déconnectées du vécu et de la quotidienneté.

À Pierre Lombard qui voulait réduire la grâce à une irruption de Dieu dans l’homme, mais sans l’homme, Thomas d’Aquin répond que la grâce ne dirige pas l’homme : elle le libère. Et le principe est théologique, voir plus, théologal :

« ce qui est par soi est toujours plus grand que ce qui est par un autre (per se magis est eo quod est per aliud) »[2].

Être par un autre, que se soit par Dieu, par l’État, par autrui, comme contribuable, copain ou ami, est toujours moindre que d’être par soi-même, à l’image de Dieu. Comme Dieu se veut lui-même, il veut des êtres autonomes plutôt que des automates ; c’est pourquoi il gratifie les êtres consistants, originaux et poreux, qui ne se lissent pas dans les conventions sociales et l’ennuyeux cirque des relations mondaines.

Pour dépasser l’idée qui voudrait que l’individualisme est un effet néfaste du libéralisme, il faut rappeler qu’il y a, au fond des doctrines dites « libérales », une conception la societas comme « coexistence aimante » ou comme « entre-soi », à l’envers du déontologisme kantien, et à rebours du « vivre-ensemble ». Puisqu’il n’y a pas l’homme en général, mais des hommes ; et que ces hommes-çi ne répondent pas à des idées pré-programmées d’universalisme, de solidarité désincarnée ou d’idéal régulateur ; la coexistence se fait de manière spontanée, naturelle et par une « discrimination positive » absolument nécessaire à l’entretien d’une certaine amitié.

Autrui, celui avec qui on vit, est d’abord un frère (fraterna) ou un prochain (alicujus), ce qui fonde, en charité, une proximité théologale ; celle-là même que l’on retrouve, à l’état parfait, dans les communautés monastiques ; celle-là même que l’on ne retrouve absolument pas dans les cités contemporaines, où des inconnus sont entassés de force dans des exiguïtés bétonnées, poussés à coexister selon des idées universelles bien éloignées avec un « vivre-ensemble » abscont mais grassement subventionné.

Il n’y a qu’en régime véritablement libéral – une liberté comme principe, non « orientée » par des ficelles collectivistes et enracinée théologalement, qu’on passe de l’individu à la personne, ou de l’homme-esclave à l’homme responsable : celui qui répond de lui-même des interractions qu’il a avec le monde et que le monde, en retour, lui permet enfin d’avoir.


[1] Somme de théologie, prologue de la IIa

[2] Somme de théologie, IIa IIae qu. 23, art. 6, resp.

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